HISTORIQUE DE LA CONSTRUCTION DE LA CLINIQUE JACQUES VIAU
JUIN 2011 : Premier voyage touristique en République Dominicaine et visite du batey de Consuelito où vit une communauté de coupeurs de canne à sucre dans des conditions sanitaires déplorables.
FÉVRIER 2012 : Suite à la création de l’Association Hispaniola Debout en France, le 3 juillet 2010, nouvelle visite en République Dominicaine, cette fois, d’une délégation de l’Association, en vue d’établir des contacts avec les autorités locales afin d’envisager le projet de construction d’un dispensaire dans le batey de Consuelito, dans le but d’améliorer les conditions sanitaires de la population locale et des bateys avoisinants.
C’est avec le soutien de l’Ambassadeur de la République Dominicaine à Paris que cette délégation de l’Association a pu prendre contact avec les responsables locaux de la mairie de Consuelo, le Gouverneur de la Province de SAN PEDRO DE MACORIS ainsi que des autorités de l’état (Ministère de la Santé) pour leur présenter, dans le cadre d’une action humanitaire, le projet de construction du dispensaire.
EN 2014 : L’Association Hispaniola Debout ayant obtenu des autorités publiques et administratives dominicaines, l’usufruit d’un terrain de la localité ainsi que leur engagement d’assurer le fonctionnement du dispensaire, le choix du personnel médical comme du personnel de sécurité et des opérations de maintenance. La construction de l’établissement sanitaire restant à la charge de l’Association.
DÉBUT MARS 2014 : Nouveau voyage en République Dominicaine et signature d’une convention de santé entre l’Association et la mairie de Consuelo, les services régionaux de santé et les autorités de la Province de SAN PEDRO DE MACORIS. Dans la foulée, ont été entrepris de suite, les travaux de bornage, l’installation de la clôture du terrain et pose de la première pierre de la construction.
MAI 2015 : Nouveau voyage en République Dominicaine pour vérifier l’avancement des travaux de la construction.
MAI 2016 : Inauguration du dispensaire dénommé « Clinique Jacques VIAU ».
Depuis, la clinique fonctionne. Reste à lui garantir une complète autonomie par l’acquisition ultérieur d’un accessoire indispensable pour le transport des patients : une ambulance dont le coût avoisine soixante dix mille euros. D’où la nécessité de faire appel à la générosité de donateurs potentiels et ce, dans les plus brefs délais.
PHOTO :
PLAN : Plan de la Clinique Jacques Viau